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... Parce que ce n'est plus tout à fait d'actualité, mais que ça reste intéressant...

Pas d'assurance aujourd'hui, mais de l'ART !!!

Aujourd'hui grand moment pour mon agence avec l'installation du tableau fait par mon amie Fanny Servoz.

Grâce à son concept, "dessine-moi un rêve", j'aurais encore plus de bonheur à retrouver mon bureau le matin, et je pense que mes clients seront ravis de pouvoir admirer cette œuvre.

 

Je lui ai demandé de retranscrire dans un tableau ma passion pour le groupe Dionysos, et l’énergie et la générosité qu'ils donnent à leurs spectateurs en concert. Je trouve le résultat très, très réussi!

 

Vous pouvez la retrouver sur sa page Facebook https://www.facebook.com/Dessine-moi-un-r%C3%AAve-1703553509894785/, ou son site internet, http://dessreve.fait-maison.com/home/user/2.html ...


Billet d'humeur :

J’ai remarqué ces derniers mois une fâcheuse tendance des publicitaires et des marques à prendre les consommateurs pour des idiots.

 

Comment ? Notamment en insinuant qu’un avantage n’est présent que chez eux, alors que tous les acteurs du marché le proposent, ou en faisant penser que le fait d’être client dans une certaine banque permettra d’être couvert contre tous les risques possibles…

 

Deux exemples pour mieux vous expliquer ce phénomène :

 

 Une célèbre banque: dans une de leurs publicités récentes, un père va voir son fils blessé à l’hôpital. Il se trompe de personne, ce qui crée un quiproquo censé être amusant, et se désole en voyant la personne très esquintée qu’il prend pour son fils… Mais comment va-t-il faire ? Un accident, des blessures, un arrêt de travail peut-être long, sans doute une perte de revenu…

 

Mais pas d’inquiétude, notre blessé indique être client de cette fameuse banque, comme si cela répondait à tous les problèmes…NON !!! Si son conseiller lui a fait souscrire une assurance prévoyance, oui, mais sinon, que propose cette banque ? Rien de plus… Et ce qu’ils oublient de dire aussi, c’est que ce charmant blessé aurait pu souscrire cette assurance chez un agent, une mutuelle, un courtier…

 

Je suis ébahie de voir le raccourci qui est pris… Comment le téléspectateur peut-il comprendre quelque chose dans cette publicité?

 

Deuxième exemple avec la publicité d’un groupe d’assurance : les parents se disputent suite à une bêtise de leur enfant : il semble qu’il ait fait déborder la baignoire, en oubliant de fermer le robinet. Mais pas de problème ! Ils sont assurés chez ..., qui laisse un droit à l’erreur ! Même si c’est la faute de leur enfant si la baignoire a débordé et s’il y a des dégâts…

 

Sauf que le « débordement d’appareil à effet d’eau » est une cause très classique de dégâts des eaux, prévue dans la convention CIDRE (qui régit les sinistres dégâts des eaux en immeubles). La grande majorité des assureurs prennent donc cette cause en compte.

 

Ce qui me gène dans cette pub? Qu'ils  prétendent faire figure d’exception à intervenir dans ce cas. La preuve : « Appuyez-vous sur une valeur sûre, à ......, la tolérance, c’est d’assurer votre habitation aussi contre certaines maladresses, parce qu’un oubli peut arriver à tout le monde. »

 

Amis assurés, ne vous laissez pas berner !

 

A. GUERRY

 

Question d'actualité : l'assurance scolaire...

En ces temps de rentrée, je voudrais parler d’assurance scolaire, pour vous expliquer ce qui est obligatoire et ce qui ne l’est pas.

 

Sous « Assurance scolaire », on désigne souvent la responsabilité civile. Celle-ci couvre les dégâts causés à autrui. Dans le cadre de la scolarité, ce sera par exemple l’enfant qui fait tomber accidentellement l’un de ses camarades, ou qui lui casse ses lunettes (accidentellement, on a dit 😉).

 

Cette garantie (responsabilité civile), obligatoire et très souvent comprise dans les contrats habitation, protège votre enfant pour les dégâts qu’il cause aux autres, mais ne le garantit pas lui-même.

 

Il existe donc une option payante, proposée par les assureurs et parfois par les écoles, qui couvre vos enfants en cas d’accident corporel. Elle comprend des garanties en cas d’invalidité ou de décès, voire en cas de perte/bris de lunettes ou d’appareil dentaire selon les contrats.

 

Les écoles demandent toujours une attestation pour la première garantie (Responsabilité civile), et souvent pour la seconde, notamment pour les sorties scolaires.